Rencontre entre les fourneau ca cache quelque chose

Invité

Je vivais depuis deux jours dans le pensionnat, en effet j'étais arrivé un vendredi soir donc je n'avais suivis aucun cours pour l'instant. Je ne connaissait personnes donc je resta enfermé dans ma chambre à tester mes pouvoirs "divin". Le dimanche soir vers minuit moins cinq, je descendis les étages du dortoir masculin, et oui a ma grande déception les dortoirs n'était pas mixte, quel honte. J'arrivai dans une grande cuisine qui heureusement elle fus commune aux hommes ainsi qu'au femmes. Je fouilla les placards afin de voir ce que je pouvais me préparer rapidement. Les cuisines que les étudiants pouvaient utiliser n’étaient pas très garni coté nourriture, je trouva des patates ainsi que deux steak de qualité médiocre, mais après un arrangement ça seraient de steak de bonne qualité. J'épluchai les patates puis les coupai en frites et les plongea dans l'huile bouillante, puis j'arrangeai les steak. Et je commençai a manger tranquillement dans une faible obscurité.

Invité

Je suis seule dans ma chambre complètement obscure, le regard dans le vide, et mon ventre gargouillant assez fort pour réveiller tout le pensionnat. J'ai une faim de loup, et j'ai déjà épuisé le stock de biscuits dans ma valise. Il ne me reste plus qu'à aller squatter la cuisine, tout en priant pour ne pas être vue. Je descend discrètement les escaliers et me mets à courir, résistant à peine à mon instinct animal, puis je m'arrête net. Une aura louche émane de la cuisine, et je m'approche doucement de celle-ci pour entrevoir un jeune garçon, assis une table, dévorant un steak. Je reste un moment plantée là, ne le quittant pas des yeux, l'observant manger. Puis je marche vers le congélateur que j'ouvre pour chercher dedans, ignorant complètement l'existence du pensionnaire. De toutes façons, il ne risquait pas de me dénoncer. Ma main atteint finalement l'un des poissons que je porte automatiquement à ma bouche, sans même prendre la peine de le cuisiner.

Invité

Je mangea tranquillement mes steak, l'un parti plus vite que l'autre, tout comme une moitié de mes frites maison.Au bout d'un quart d'heure je sentis une présence non-humaine vers la cuisine. Je ne pouvait dire si ce fus un gardien ou un étudiant, un homme ou une fille. Cette présence s’arrêta de bouger devant la porte de la cuisine. Je continua de manger dans le calme, la personne entra, et passa dans mon dos afin d'atteindre le réfrigérateur ou le congélateur, je ne pouvais encore le savoir. Lorsque je me retourna, je vis une jeune femme qui paraissait avoir 10 ans, elle avait le bras dans le congélateur. Elle le ressortit avec un poisson congelé et le manga comme ça. Je parla car cette situation me faisait rire intérieurement :

Alors comme ça tu aime le poisson congelé ! Tu ne préférerais pas que je te le cuisine?

En attendant sa réponse je finis mon assiette doucement et en profitant pour scruter son essence vital grâce aux pouvoirs de Magister.

Invité

"Alors comme ça tu aime le poisson congelé ! Tu ne préférerais pas que je te le cuisine? "

Je sentis une pointe d'amusement dans sa voix, et son aura jaillir pour m’oppresser. Je devine facilement qu'il m’examine, mais ne bronche pas pour autant. Je me retourne vers lui, haussant les épaules:

"Si vous voulez."

Je vais chercher une assiette et y pose le poisson, dont je n'ai prit qu'une minuscule bouchée. Je tire une chaise et m'assois dessus, posant mon dîner sur la table devant l'inconnu. Une lueur de curiosité brille dans mon regard:

"Vous êtes cuisinier?"

Invité

Si vous voulez.

Me dit-elle après avoir haussé les épaules. je la vis prendre une assiette, puis posa le poisson dedans. Ensuite elle se posa sur une chaise. Elle me regardait et dans ses yeux on pouvait voir une étincelle de curiosité.

Vous êtes cuisinier?

Je rigola un peu, puis je pris son assiette de poisson. Je commençai par écailler le poisson qui avait été congelé encore vivant. En attendant je cherchai une façon de le cuisiner ce poisson.

Non je ne suis pas cuisinier. J'ai juste du apprendre à me débrouiller. Au fait quel est ton petit nom?

Je décidai finalement de préparer le poisson en papillote avec une sauce à base de tomates et un peu de blé.

Invité

Il écaille le poisson tandis que je pose les bras sur la table et y loge mon menton. Je suis complètement absorbée par ses gestes précis et par l'arôme du poisson. Je manque de sursauter quand il prend la parole:

"Non je ne suis pas cuisinier. J'ai juste du apprendre à me débrouiller.Au fait quel est ton petit nom?"

Je m'empêche de demander pourquoi les mages ne se préparent pas à manger par magie et lâche:

"Akako."

Je me remets dans ma contemplation du poisson, me passant la langue sur la lèvre supérieure sans trop m'en rendre compte.

Invité

Elle devais se poser tout un tas de question. Pendant ma préparation elle lâcha :

Akako.

Je mis le poisson au four, puis lorsque je me retourna, je la vis en train de se lécher la lèvre supérieur en guise de faim intense.

Akako, ça sera prêt dans une dizaine de minutes ! Au fait je suis Elek Takugami, Un mage.

Je continuais toujours de sonder son essence vitale afin de déterminer si elle était humaine ou non, puis je m'assit en attendant que le poisson cuise. Finalement je trouva la réponse à ma question, mais j'ne voulais plus, je lui demanda donc :

Mais dites Akako, je sent que votre essence vitale n'a pas une once d'essence humaine. Il n'y a que deux types de personnes qui sont dans ce cas là, les vampires et les chimères. Mais vous n'avez ni les yeux des vampires, ni leurs canines. Je dirais donc que vous êtes une chimère. Que tu me dise si j'ai raison ou non, je m'en fou.

J'allai ensuite sortir le poisson du four et je lui donna une assiette bien garni. Ensuite je me rassis après avoir sorti une bouteille de Téquila d'un placard. Je buvais ensuite tranquillement la bouteille.

Invité

Il s'en foutait, disait-il. Soit. Je ne répondis rien, tandis qu'il posa le poisson devant moi. Une odeur des plus alléchantes titilla mes narines. Je me mis à manger instantanément tout en l'observant. Il buvait de l'alcool, ce qui ne me fit aucun effet. De toutes façons, bien qu'il aie l'air jeune, je pouvais m'attendre à tous les âges possibles et imaginables. Mangé jusqu'au dernier morceau, il ne restait du poisson que de misérables
arêtes. J'avais les joues tâchées de sauce et un sourire enfantin immense décorait mes lèvres.

"Merci!"

Invité

Elle dévora le poisson à une vitesse folle, mais en même temps, elle m'observais. Lorsqu'elle eut fini de manger, je remarquai que comme un enfant ses joues étaient recouvertes de sauce. elle me sortit un petit :

Merci !

Je lui tendis une serviette, car si elle restait comme cela, j'allais exploser de rire.

Tiens, ressuie toi ! Alors il était bon ce poisson ?

Je rebut quelques gorgées de Téquila, puis je demanda à Akako:

Excuse moi ! Mais souhaite tu boire quelque chose ? Un alcool, un café ou un thé ?